Il faut sauver Camille

“Mon père jetait des pavés contre l’immobilisme et il avait raison, aujourd’hui je jette des idées dans les esprits assoupis” Arne Quinze.

Mais pourquoi diable le Club de la Presse prend-il l’initiative de lancer une pétition en faveur du maintien de Camille sur le pont Boieldieu…. Un an, cinq ans ou plus si affinités ?

Parce que l’œuvre d’Arne Quinze est d’abord un formidable vecteur de communication pour les gens de médias que nous sommes.
Parce qu’elle est porteuse d’image et que nous sommes des femmes et des hommes d’images.
Parce qu’à l’instar des Machines de Nantes, elle propulse Rouen, ville d’art et d’histoire, dans la modernité.
Parce qu’elle piétonnise un pont entre deux rives qui continuent de s’ignorer poliment.
Parce qu’elle est inutile, donc essentielle.
Parce qu’elle fait parler les bavards et que nous aimons par dessus tout les bavards, à condition qu’ils ne s’expriment pas pour ne rien dire.

Parce que Camille est aussi peu consensuelle que le furent en leur temps les Nymphéas de Claude Monet et la Tour de Gustave Eiffel, elle mérite de durer plus de deux mois.

Pour sauver Camille, rendez-vous sur https://www.pressecomnormandie.fr/camille, merci de signer et de faire circuler cette pétition.

Le bureau du Club de la Presse de Haute-Normandie.